Comment appeler la police quand vous êtes vieux et que vous n' êtes plus très mobile...
> Georges PHILLIPS, un homme d' un certain âge vivant à Lyon allait se coucher quand sa femme lui dit qu' il avait laissé la lumière dans l' abri de jardin qu' elle pouvait voir depuis la fenêtre de la chambre. Georges ouvrit la porte arrière pour éteindre, mais il vit qu' il y avait des personnes dans l' abri en train de voler du matériel.
> Il appela la police qui lui demanda : "quelqu'un s' est-il introduit chez vous ?" il répondit "non, mais des gens sont en train de me voler après s' être introduits dans ma cabane de jardin "
> La police répondit: "toutes nos patrouilles sont occupées il faut vous enfermer , et un officier passera dès qu' il sera libre.
> Georges dit " O.K " puis il raccrocha, et attendit 30 secondes et rappela la police.
> "Bonjour, je viens de vous appeler pour des voleurs dans mon abri de jardin... Ne vous inquiétez plus à ce propos... je les ai tués " Puis il raccrocha.
> Dans les cinq minutes 6 voitures de police une équipe de tireurs un hélicoptère deux camions de pompiers une ambulance et le samu local se présentèrent devant son domicile, et les voleurs furent pris en flagrant délit.
> Un policier lui dit " je croyais que vous les aviez tués..."
> Georges répondit " Je croyais que vous m' aviez dit que vous n' aviez personne de disponible ..."
> Histoire vraie...
> Moralité :_ il ne faut pas Emmerder les Vieux
Objet : leçon d'économie
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> C'est pourtant simple non ???
> Ca se passe dans un très petit village qui vit du tourisme, sauf
> qu'à cause de la crise économique il n'y a plus de touristes.
> Tout le monde emprunte à tout le monde pour survivre. Plusieurs
> mois passent, misérables.
> arrive enfin un touriste qui prend une chambre. Il la paie avec un
> billet de 100$. Le touriste n'est pas aussitôt monté à sa chambre que
> l'hôtelier court porter le billet de 100$ chez le boucher, à qui il
> doit justement cent dollars. Le boucher va aussitôt porter le même
> billet au paysan qui l'approvisionne en viande. Le paysan, à son tour,
> se dépêche d'aller payer sa dette à la pute à laquelle il doit quelques
> passes. La pute boucle la boucle en se rendant à l'hôtel pour
> rembourser l'hôtelier qu'elle ne payait plus quand elle prenait une
> chambre à l'heure. Comme elle dépose le billet de 100$ sur le comptoir,
> le touriste qui venait de dire à l'hôtelier qu'il n'aimait pas sa
> chambre et n'en voulait plus, ramasse son billet et disparaît.
> Rien n'a été dépensé, ni gagné. N'empêche que plus personne dans le
> village n'a de dettes.
> N'est-ce pas ainsi que l'on est en train de résoudre la crise
> mondiale !
Un mécanicien occupé à retirer le joint de culasse du moteur d'une Harley Davidson remarqua qu'un chirurgien du coeur très connu venait de rentrer dans son garage.
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> Le chirurgien attendait patiemment que le responsable du garage vienne jeter un oeil à sa moto.
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> Tout d'un coup le mécanicien cria du fond du garage :
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> - " Eh Doc, puis-je vous poser une question ?"
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> Le chirurgien un peu surpris, se dirigea vers le mécanicien.
>
> Toujours occupé sur la moto. Le mécanicien se leva fièrement, essuya ses mains dans un chiffon et demanda :-
>
> - " Alors Doc, regardez ce moteur. J'ai ouvert son coeur, retiré les valves,
> les ai réparées et remises aux mêmes endroits, résultat ça fonctionne comme si c'était neuf !
> Donc comment se fait-il que je reçoive une misère en fin de mois et
> vous une fortune alors que vous et moi faisons pratiquement le même boulot ?"
>
> Le chirurgien resta silencieux, puis en souriant se pencha vers le mécanicien pour lui murmurer :
>
> -" Essaye de le faire avec le moteur qui tourne. ."