{Jour7} Je ne pensais pas que les humains étaient si attachant et...aimant [Benjamin]

J'étais enfin arriver à Seatle, je téléphona à mon agent qui m'expliqua où me rendre, mon gps m'indiqua de suite l'endroit. Une fois que j'eusse trouver le bâtiment en question, je me gara et descendis de ma voiture, je la ferma et d'une démarche décontracter, et élégante, se qui fus vite remarquer par les passants, me rendis au studio. Une fois arriver, je tachais de paraitre "bien", pas difficile, je ne transpire pas, je ne pleure pas, et je ne bouge pas. Ma nature mystique ne me le permet pas, sa a parfois des avantage. On me dirigea vite, vite à la salle où se trouvais un tas de vêtement et je m'habillais, pendant qu'une des agents me fermais mon haut, l'autre me maquillais. Malgré mon teint parfait. Puis je filais vite me faire photographier. Puis je changeais de tenue etc... au bout de deux heures facile, on m'interviewa, chose que je n'avais pas prévue, des question banale, comment je suis arriver là, etc... On m'appris aussi que les photos vont être publier dans un magazine de mode. Oh! MALHEUR! Non pas sa. Si sa arrive jusqu'à Forks je suis mal. Comme si on avait entendue mes penser mon agent me donna la réponses. Fichue, je suis fichue, si les Cullen tombent la dessus je suis mal. Surtout que d'après se qu'ont m'a dit, Alice Cullen est une fan de la mode.

"Tes photos seront aussi publier dans un grand magasin de mode." me fis mon agent.

QUOI? j'écarquilla les yeux, mal, j'étais très mal. Je remercia tout le monde, faisant mine que j'étais contente, sa l'aurais été, avant, quand je ne connaissais pas les Cullen. Si ils tombent dessus, et qu'ils vont dans le magasins en question je suis morte. Façon de parler, quoique... Bref, je me rhabilla et pris mon sac remercia tout le monde, mon agent me donnais les clés de mon appartement, qu'il avait aménager. Parfait, comme demander tout était fait. Je remontais dans ma voiture et allais à l'adresse, de mon nouveaux chez moi. Pour quelques temps, enfin je crois. Arriver sur place je me garrais de nouveaux et sortis mes affaires puis les montais à mon appartement, il était parfait, tout dans les tons, gris, beige, noir, marron. Bref j'adore. Je posais vite ma valise dans ma chambre, et les rangeais dans mon armoire. Puis le besoin de sortir se fis ressentir et je fermais l'appartement et marchais jusqu'au port. Là-bas, je m'assied sur un muret et fermais les yeux. Du calme, loin de mes soucis, du moins pour le moment. Des soucis? quel soucis? le seul soucis c'est moi! Bref je ne devais plus penser à tout sa. aux Cullen, à Bella, à Mike et aux autres, juste à Mephisto et aussi surveiller Amanda. Je devais avoir des informations. Et ceux aux plus vite. J'étais bien là seule sans personne. Mais se fus un moment agréable de courte durée...

Le soleil brillait. D’accord, pas réellement, mais moi j’avais la joie suffisante pour le voir. Oui, entre deux nuages il parvenait à éclater sur ma peau et me lancer des sourires. Ou peut-être étais-je le seul à les percevoir ?

Sans doute. Je venais de sortir de la banque, ma sacoche noire à bout de bras, mon costume sombre élégant se fondant dans l’atmosphère studieux de la grande ville.

Je croisais des regards tristes ou préoccupés et je me réjouissais que ma vie ne ressemble pas à celle de tous ces gens qui me semblaient dépérir. Ne le voyaient-ils pas, eux, le soleil briller sous les nuages ?

Je n’avais pas pris la voiture ce matin. Je voulais marcher. Prendre l’air. Par conséquent, j’étais forcé de repartir à pied.

Cela ne me dérangeais pas le moins du monde. Je passais beaucoup de mon temps libre à faire du sport pour veiller à être toujours à la hauteur de mon don naturel pour la séduction. Une petite marche ne me faisait pas peur.

Je décidais même, mu par Dieu sait quel sombre pressentiment, de faire un détour pour marcher le long du port.

Je passais une main dans mes cheveux en pensant malgré moi au travail tandis que le vent me fouettait le visage d’embruns salés.

C’est à cet instant que je la vis.

Je m’arrêtais net. Comme un crétin.

Ses cheveux châtains clairs dansaient autour de son visage lumineux. Sa beauté éclaboussait les alentours à tel point que tout semblait flous et indigne à ses côtés. Son regard était perdu dans des inquiétudes qui semblaient dix fois supérieures aux communs des mortelles.

Elle se tenait, assise, mollement sur muret, pourtant le maintien harmonieux de son corps fin et ferme me laissait pantelant.

De toutes les femmes que j’avais conquises, elle me semblait la plus belle. Et même si il n’y avait en fait pas un seul rayon de soleil pour éclairer sa grâce, il émanait d’elle une lumière que je voulais boire. Que je devais boire.

Je m’avançais vers elle et m’accoudais naturellement tout près.

-C’est beau n’est ce pas ? lui-dis sur un ton tranquille, comme si on se connaissait depuis toujours, en désignant du menton la grève.

Je fixais l'horizon du port, le peut de soleil, pas assez pour que se sois dangereux pour moi, se faisais reflet dans l'océan, comme si le soleil, tentais de se regarder dans un miroir mais qu'il n'y trouvais pas son reflet, juste de la brume. J'étais bien là, un "break" ne me faisais pas de mal, cette séance photos me préoccupais. Je savais que le magazine allais sortir partout ainsi qu'à Forks, et que mes photo, mon visage allait être afficher sur un grand magasins de mode. je suis fichue. Je devais penser aux comment j'allais m'y prendre pour coincer se type, se parasite. Il n'y a pas de mots pour décrire la haine que je ressens pour lui...Mephisto. Un grognement sortis de ma gorge, petit et discret qui aurait presque pue se confondre avec une trame de toue. je fermais les yeux, appréciant le vent sur mon visage, dégageant mes cheveux, laissant mon visage à découvert, mon fin visage, à la peau pâle presque de porcelaine. J'étais tellement absorber par mes penser haineuse et triste que je n'avais sentis cette douce odeur qui me titilla le nez, un humain. Je n'eus le temps de réagir qu'il m'adressa la parole, j'ouvris les yeux et le regarda. lui, c'est pas un timide. j'eus du mal à croire que c'était un humain, ces cheveux brun, ni trop court, ni trop long, le mettais en valeur, son visage et silhouette fin, son corps malgré qu'il soit fin avait l'air muscler. Je le regarda assez surprise, il m'adressait la parole comme si on se connaissait. Mais moi, les humains je les côtoie peut, je leur parle peut à part Bella, Mike c'est tout. Mais je dois les oublier. Même si je sais que c'est impossible. Bref je ne devais pas trainer ici. Surtout que ma dernière chasse remonte à se matin et je sais pas si je tiendrais! je pense que oui.

"Oui très mais malheureusement je dois vous laissez désoler..."

Sur ceux je me levais naturellement, gracieusement. Je ne devais pas côtoyer les humains hors de mon travaille et encore moins m'y attacher. je pris mon sac et commença à marcher le long du port, en regardant droit devant moi.

A l’instant où elle me répondit j’eus le plaisir de croiser son regard. J’en fus pétrifié. Il était aussi beau qu’effrayant. Un éclair sombre avait parcourue le miel lumineux qui coulait autour de ses iris.
Autant de beauté était impossible. Mon corps se couvrit de frissons. Quelque chose en moi me criait de fuir. Tandis qu’une autre part de mon âme, brûlait de comprendre, pourquoi cette femme, plus qu’une autre me semblait tout bonnement si sublime et irréelle ?

Elle répondit vaguement et sa voix eut à peine le temps de couler en moi en une onde de plaisir qu’elle s’éloignait déjà.

C’était impossible. Je ne pouvais pas la laisser se sauver. Sa silhouette mince et longue s’accordait à sa marche qui évoquait une danse à la perfection.

Je me surpris à la suivre. Ce n’était pas mon genre. Habituellement, la moindre fille à laquelle je m’adressais me tombait dans les bras presqu’en suppliant. Ce refus ne me blessait pas, il m’exaltait.

Je dû presque courir pour la rattraper.

*Dieu qu’elle est rapide !*

-Excuses moi ! m’exclamai-je. Je ne voulais pas vous effrayer !

Je m’accordais à son pas rapide.

-Pardonnez mon insistance mais, vous êtes arrivez récemment à Seattle, n’est ce pas ?

Seattle est une grande ville. J’en étais conscient. Je ne pouvais pas connaitre chaque habitant et forte heureusement d’ailleurs ! Mais elle ! C’était impossible qu’elle ait parcourue ces mêmes rues un jour sans que je l’aie vue. Ou que quelqu’un ne m’en ait parlé.

Je continuais de marcher aussi vite que je pue, enfin qu'un humain aurait pue. alors que je n'eus le temps de dire OUF, il me rejoignis, bon sang mais que veut il? Je me sentis soudainement gêner, pourquoi? Je sais pas mais il me mettait mal à l'aise. Je m'arrêtais alors, sentant son coeur accélérer du a l'allure que l'ont avaient. Je plongea mon regard dans le sien, captivant, ses yeux son captivant. Je revînt à la réalité quand il me demanda si sa faisais longtemps que je vivais à Seattle!

"et bien...non! Je suis arriver aujourd'hui, je travaille comme mannequin et j'avais une séance photos prévue et je comptais rester dans le coin quelques temps."

Dis je en détournant mon regard. Je ne savais pas quel couleur avait mes yeux, je ne voulais pas qu'il me regarde, je ne veux pas m'attacher de nouveaux à quelqu'un, on ne sais se que l'avenir nous réserve. Je ne sais de quoi est capable Mephisto et hésiterais pas à s'en prendre à toute personne, osant se mettre sur son passage. J'en suis sur et certaine. Amanda, j'espère que Edward a reçue mon message si c'est le cas, sa serais bien qu'il me réponde. Que j'en sache plus sur se qu'il compte faire, ou se qu'il veut que je fasse.Bref je me remise à regarder l'humain qui se trouvais devant moi et sans savoir pourquoi je lui adressa un petit sourire. QUOI? rah maintenant je me met à sourire aux humains.

"Pardonnez mon impolitesse...Je m'appelle Sélène...Sélène Smith, mannequin."

Lui dis je, je mis mes mains dans mon manteaux, pour ne pas qu'il sert mes mains, il risquerait de se douter de quelque chose si il touchait ma main. Et je ne sais pas comment je réagirais face aux contact de sa peau. Je ressentais quelque chose d'assez étrange en moi, une sorte d'excitation, de joie, de peur? Oui de peur que je m'attache à cette humain et que je lui fasse du mal, ou qu'il lui arrive quelque chose par ma faute.

Mannequin bien entendu j’aurais du m’en douter. Une perfection entretenue à ce point ne pouvait signifier que cela. Pourtant elle n’avait rien du style maigrelet qu’un coup de vent puisse briser. Elle ressemblait plus à une déesse intemporelle. L’entendre dire qu’elle faisait un travail si superficielle me fit retomber vaguement de mes hautes sphères.

Pourtant, sa beauté continuait de me perturber intensément. Elle semblait gênée. Pas seulement par mon insistance, par autre chose, sans que je puisse discerner quoi. Elle n’était pas comme les autres. C’était évident. Et dès l’instant où je l’avais vu, j’avais sentie que ma vie basculait.

* Calme-toi Ben, pensai-je, toi amoureux ? Ce n’est vraiment pas ton style, reviens sur terre !*

Pourtant, j’avais beau me faire violence, ce n’était pas uniquement son corps que je désirais. C’était elle. Savoir qui elle était. Savoir pourquoi elle était si différente. L’aider. La protéger.

-Enchanté Mademoiselle Smith, je suis Benjamin O’Connel, je travaille à Bouquet Banque Nursey.

Comme elle avait rangées ses mains délicates en signe d’introversion et qu’elle semblait éviter mon regard j’agitais mon attaché-case.

-Et je reviens tout juste du travail.

*Quel idiot, t’as rien de plus évident à rajouter ?*

-Nouvelle à Seattle donc, enchainai-je avec l’un de mes plus ensorcelants sourires, c’est une ville pluvieuse mais vraiment très belle. Surtout la nuit. Vous venez de loin ? Pardon, ça ne me regarde pas ! Je suis d’une impolitesse à parler autant. Tenez pour me faire pardonner, je vous invite au restaurant ce soir ! Vous ne pouvez pas refuser, je dois me racheter absolument et vous, vous avez besoin d’un guide hors pair…que je suis !

J’ouvrais les bras en souriant. Rempli d’humour je savais que les femmes aiment ça. Même si celle-ci était différente de toutes les autres.

Restaurant? Euh...vite Sélène trouve quelque chose.

"EUh...j'arrive de Forks. C'est tout aussi pluvieux là-bas, mais tranquille et agréable, j'aime le calme."

le restaurant, oulà. Non, je suis mal barrer là! Je ne peut aller aux restaurant avec lui, d'une me faire inviter je ne le supporte pas, de deux je ne peut pas la nourriture humaine est quelque peut...écoeurante, pour nous humains.

"Au restaurant? J'en serais ravie, mais je n'aime pas côtoyer se genre d'endroit. C'est souvent bruyant et plein de monde, pas tout a fait le truc en se moment voyez vous, mon agents m'a annoncer quelque chose toute à l'heure et il vaudrais mieux que j'évite de me montrer dans se genre d'endroit vous comprenez? Pourquoi pas une autre fois. De plus, vous n'avez rien à vous pardonnez, c'est moi! J'ai été impolie je suis ravie de vous rencontrez monsieur O'Connel."

Bien jouer Sélène.

"Et vous? Cela fait longtemps que vous êtes à Seattle?"

Je le regarda de nouveaux, quelque chose en lui m'attirais et le temps sembla s'arrêter, malgré que pour moi cela faisais bien longtemps que j'étais figer à un âge précis. Et ceux éternellement, mais sa il ne devait pas le savoir. Jamais.

Le restaurant ne l’intéressait pas, pourtant elle continuait la conversation. Alors peu importe, cela signifiait que soit je lui plaisais, soit elle avait trop peur d’être impoli. Dans les deux cas, c’était bon à prendre. Surtout le premier.

*Ben qu’est ce qui te prend ! Aucune fille ne te met dans cet état d’habitude »

-Oh moi, oui depuis quelques années. Mais ne me faite pas parler, où vous risquez d’en avoir pour la journée !

Je riais, elle y participa poliment, comme si elle prenait garde de ne pas montrer ses dents.

Je l’invitais à poursuivre sa marche dans la direction qu’elle avait prise. J’étais mal à l’aise. Elle semblait totalement tendue. C’était la première fois que je ne surplombais pas une discussion.

-Vous êtes étonnante tout de même, la plupart des mannequins adorent se montrer dans les endroits branchés ! Vous semblez si différente…

J’essayais de capter son regard. Ce fut difficile. Jamais je n’avais parlé de cette façon. Près à aborder les sentiments, le pourquoi de la vie. Elle me remuait jusqu’aux tréfonds de moi-même sans que je puisse rien y faire.

-Alors, si un restau ne vous plait pas, une promenade au bord de l’eau ? J’aurais ainsi l’occasion de vous raconter tout ce qui est bon à savoir sur Seattle…

-Et sur les bons placements, ajoutai-je en riant.

Sans savoir pourquoi, j'appréciais sa compagnie, il m'attirait! HEIN? oh làlà sa va pas Sélène tu dis n'importe quoi. mais une chose est sur, c'est que j'aime sa voie, son odeur, son visage, lui tout simplement. Je ne sais pas vraiment ce qu'il m'arrivais. En vînt, pourquoi chercher à comprendre? L'entendre parler ne me gêne point, je me joignis à son rire poliment, et en prenant soin de cacher la blancheur de mes dents parfaite, de ma mâchoire parfaite. Bref nous reprîmes route le long du port!


"je ne suis pas comme les autres! vous avez raison. je suis juste moi. Je n'aime pas les endroit trop fréquenter."

il devait me prendre pour une dingue

"Le port est vraiment magnifique je suis sur que la nuit, cela doit être encore plus beau. Sa nous permettra de faire plus ample connaissance."

Cette fois si je lui souriais, un vraie sourire sincère et magnifique. Mes dents blanche allaient surement faire son effet en vînt! Cela m'importe peut.

"Vous êtes tout autant étonnant Benjamin. Vous accostez les demoiselles avec beaucoup de faciliter dite moi."

On ne m'avais jamais accoster ainsi. ET j'en étais assez surprise mais bon sa va aller.

Sélène se montra étonnamment réceptive. Je fus presque déstabilisé. De toute évidence je lui plaisais.

-A vrai dire, ça ne m’arrive pas souvent d’en croiser de si jolie.

*Magnifique, sublime, extraordinairement désirable !* ajoutai-je intérieurement.

Mais bien sûr, tout ça, je ne pouvais pas lui dire. Elle aurait sans doute fui à toutes jambes. Je m’attendais à ce qu’elle rougisse sous mon compliment, il n’en fut rien. Son visage gardait son étrange pâleur. Une pâleur sur laquelle j’aurais adorais promenais mes doigts.

*Reprend toi Ben !*

-Vous aviez l’air de plus un peu trop seul à mon goût, je n’ai pas pu résister.

Je la conduisais vers le port de plaisance, où certains bateaux de particulier étaient accrochés. Le mien en faisait parti. J’espérais pouvoir le lui montrer.

Ma présence lui était agréable ? N’avais-je pas gagné ? Mais gagné quoi ? Cette fois ce n’était pas un jeu comme j’en ai l’habitude, cette fois j’étais sincère. Atrocement sincère.

-Oui j’aime beaucoup les bateaux, m’enthousiasmai-je. J’ai un petit jet amarré à quelques mètres. Ca vous direz de le visiter ?

Sélène fut affirmative, je la conduisais avec joie. Le soleil se couchait dans une ribambelles de couleurs féériques. Je pensais qu’il n’y avait pas plus romantique. Je respirais l’odeur délicate de la jeune femme. Elle était douce, fraiche, pure sans que je puisse déterminer à quoi elle me faisait penser.

J’en concluais que je ne l’avais jamais sentie auparavant. Mais je savais que jamais je ne pourrais m’en lasser. Jamais ? Et pourtant, ce n’était qu’une connaissance…

*Benjamin tu deviens fou reprend toi !*

J’étais fier de mon bateau, plutôt coûteux, mais c’était un rêve de gosse enfin réalisé. Il remuait mollement à côté de ses voisins.

Je sautais dedans alerte puis lui tendais la main pour l’aider à se hisser.

Il me demanda si je voulais visiter le sien, j'acquiesçai avec joie. Puis nous, nous dirigeâmes sur l'engin en question, quand je le vis je crus halluciner, ma parole Benjamin ne se prive pas. Il monta à bord me tendan la main pour que je puisse monter, pour sembler humaine, j'avais enfiler quelque temps auparavant des gants en cuir, je sortis mes mains et pris la sienne puis monta à bord de son jet, très beau je dois avouer.

"ET bien c'est Woua j'aime beaucoup, vous avez du gouts."

je lui souriais puis il y eut comme un blanc, je plongeais mes pupilles dans les sienne, si fragile, si il savait le prédateur qu'il avait devant lui, il ne serait pas si à l'aise. Le temps sembla s'arrêter les quelques faible rayon du soleil qui se couche se reflétant sur les vagues. C'étais beau mais pas aussi beau que lui, suis je devenue dingue? Tomber amoureuse d'un humain! je vient de dire amoureuse? Non c'est pas possible je ne peut pas je risque d'avoir des ennuis avec Edward et le reste des Cullen, ha oui me suis dit qu'il fallait les oublier. Et puis pourquoi ne pouvais je pas être heureuse moi aussi? Mais de là, à être accroc à un humain! J'ai peur à vraie dire. Si je le mordais? si il lui arrivais quelque chose par ma faute? Je ne devais pas penser à sa. Sans nous en rendre compte nos corps c'étais rapprocher j'en pris conscience et me recula.

"Bien..."

je regarda le ciel

"ce soir, sa risque d'être la pleine lune."

Sélène grimpa dans le bateau avec une grâce qui me laissa bouche bée. Je sentis à peine son poids sur ma main. Je devinais qu’elle avait acceptée mon aide pour la forme mais qu’elle ne s’était pas réellement appuyée.

L’intérieur était petit mais plutôt luxueux, elle en fut agréablement surprise, bien que je lu sur son visage que les biens matériels n’étaient pas une passion chez elle. Elle n’avait rien des mannequins habituels, vraiment rien. Hormis sa beauté, qui toutefois, les dépassaient toutes largement. Les photographes de modes devaient se l’arracher.

J’en étais à ce point de mes réflexions que je me rendis compte qu’un silence embarrassant c’était imposé.

Je la regardais intensément sans m’en rendre compte. Il y avait si peu de place qu’elle se recula pour rendre notre proximité moins gênante. Dommage, son odeur m’était si délicieuse.

-Heu…la pleine lune…

C’était la première fille qui me parlait de la pleine lune. La plupart des autres que j’avais pu fréquenter, auraient déjà essayé de me demander quel était le montant de mon salaire. Bien sûr, elle s’en moquait. Car elle était différente. Merveilleusement différente.

-Sans doute, finis-je par réaliser en jetant un œil par le hublot. Ca vous intéressez de faire un petit tour près de la côte ?

Il avait eu l'air incroyablement surpris, si il savait se que je cache, il en serait effrayer, comme tout le monde, si il s'avérais qu'il découvre se que je suis et qu'il le prenne mal je me verrais de le tuer? Non plutôt mourir que de tuer un humain et encore moins celui que j'aime! Faus vraiment que j'arrête de délirer. L'intèrieur du jet était agréable et confortable, du moins il avait l'air! Un tout près de la cote?

"Oui pourquoi pas?"

je lui souria et me tourna vers lui, j'eus une sorte de blocage, surement si j'avais été humaine, le sang qui se serais trouver dans mes veine aurait été tel la lave d'un volcan en éruption. Mon sang aurait bouillie c'étais une sensation étrange. Mais à la plage je n'avais que la gorge qui me montais à la bouche. Je pense pouvoir tenir encore plusieurs heure, je le dois.

"merci en tout cas."

Je retira alors mes gants et mon manteaux que je posa délicatement sur la petite banquète du jet.

Elle avait accepté. J’enclenchais le moteur et me plaçais derrière la barre. Elle était petite mais ça me donnait des allures de commandant de bord que j’appréciais.


Le soir s’élargissait sur l’eau en d’étranges volutes brumeuses. Il s’était mit à pleuvoir. Le ciel tout à l’heure empli du soleil mourant était désormais étouffé par d’énormes nuages sombres autour desquels se découpait un fin filet de lumière, les vestiges du soleil.

C’était très beau et inquiétant à la fois. Tout comme la somptueuse créature qui se tenait à mes côtés.

-Sélène, venez essayer !

C’était la première fois que je prononçais son nom à voix haute. J’espérais que ma voix n’avait pas trop trahie mon attachement si soudain.

Je la forçais à s’approcher et lui indiquez comment tenir la barre. Pressé contre elle, le nez presque dans ses cheveux, j’humais son odeur parfaite avec un plaisir presqu’inconvenant.

J’avais entrainé le bateau plus loin que je ne voulais. Et ce dans tous les sens du terme, aussi symbolique possible.

Je reprenais la barre à me rapprochant de la côte. Je connaissais cette jeune femme depuis peu de temps, je ne pouvais pas me permettre de partir trop loin. J’avais trop peur de l’effrayer. Surtout qu’elle se défit très vite de mes bras en prétextant qu’elle n’y arriverait pas.

Avait-elle peur de moi ? Que je ne veuille l’enlever ?

J’étais si entreprenant et à la fois si méconnaissable.

Je laissais la barre en conduite automatique et me tournais vers elle.

-C’est vraiment étrange Sélène, j’ai l’impression de vous connaitre depuis toujours.

J’étais si proche d’elle que l’eau m’en montait à la bouche. Je ne pu m’empêcher de lever une main vers son visage.

Elle eut un mouvement de recul mais ne pu s’écarter puisque déjà pressée contre la paroi.

Je touchais l’une des mèches rebelles de ses cheveux doux comme la soie et effleurais vaguement sa peau, le cœur et le corps en ébullition.

Sa froideur me rempli de stupeur.

-Sélène vous êtes glacée ! m’exclamai-je inquiet.

Je plaquais une main sur sa joue.

- Ca ne va pas vous avez froid ? Vous voulez une couverture ?

J’étais réellement angoissé. Pire que ça. Tétanisé. Je m’imaginais déjà un milliard de possibilité. Et si elle était atteinte d’une grave maladie ? Voilà pourquoi elle semblait à ce point différente, au-dessus des choses…

Je ne mettais pas rendu compte que nous, nous étions autant éloigner du port, mais il finit par s'arrêter au bout d'un moment. Puis il se tourna vers moi, je crue rêver quand j'entendis sa voie, mon corps s'enflamma quand il s'approcha de moi, il voulut toucher mon visage mais j'eus un moment de recule mais je n'alla pas très loin, j'étais contre la paroi. Je crus bruler sur place quand il replaca un mèche de cheveux! Stop! Il devait arrêter puis il toucha enfin ma peau!

"Non, non je n'ai pas froid! sa a toujours été pourquoi, mon corps n'arrive pas à se réchauffer. Je vais remettre ma veste."

Je me dégagea lentement et marchais prudemment malgré que mon équilibre était parfait, je devais paraitre humaine. J'entrais enfin dans la cabine dos à l'entrer principal je ferma les yeux et soupira doucement. Je resta là un instant.

*Qu'est ce qu'il m'arrive? je n'aurais jamais du accepter*

J'avais été imprudente, et idiot de mettre laisser embarquer là-dedans! J'étais tellement plonger dans mes penser que je n'entendis pas les pas de l'humain dont j'étais sur...follement amoureuse.

Elle s’éloigna. Avais-je touché un point sensible ? Me mentait-elle ? Etait-elle réellement malade comme je le craignais ?

Elle s’éloigna pour remettre son manteau. J’avais l’impression d’avoir commise une énorme erreur. Pourtant, le besoin de la toucher était si immense. Plus immense qu’il ne l’avait jamais été pour une aucune femme avant elle.

Et si elle était réellement malade ? Après tout, sa pâleur en était peut-être une preuve ?

Pourtant, je réalisais que seul son bien être m’intéressait. Qu’elle ait le sida, ou Dieu sait quel autre maladie contagieuse (cela expliquerait sa façon de me repousser), je n’avais pas peur pour moi mais pour elle.

Je l’aimais.

*Non, Ben, le coup de foudre ça n’existe pas, c’est des histoires qu’on raconte aux filles pour les embobiner* me répétai-je implacable. Pourtant je n’y croyais plus. Je l’aimais.

Je l’aime.

*Je t’aime*

Je venais de la rejoindre dans la cabine principale.

Elle semblait mal à l’aise au possible.

-Je suis désolée, je ne voulais pas faire ça…je veux dire vous mettre dans l’embarras…

Elle se tourna vers moi. Elle semblait encore plus mal. Si pâle. Allait-elle tomber dans les pommes ?
La température de sa peau était si inquiétante. Je m’avançais vers elle.
Ma chaleur l’aiderait peut-être.

Sélène se laissa attirer dans mes bras. De parfaits inconnus que nous étions un plus tôt j’avais l’impression que nous étions devenus détenteurs d’un même secret, d’une même douleur.

Sélène n’était pas comme les autres. Mais qui était-elle donc ?

Cette question me brûlait les lèvres mais pas autant que le désir de les lui prendre.

Elle me tutoya puis me vouvoya, réellement perdue elle aussi.

-Sélène, tu peux tout me dire, je suis sincère, quel que soit…ton secret…

Elle semblait mal. Souffrir. Se retenir.

Son visage était si près. Son odeur si ensorcelante. Sa beauté si dévorante.

Je posais mes lèvres sur les siennes. Sa froideur ne me fit pas mal. Au contraire. Elle était délicieuse. Apaisante. Ce n’était pas la froideur d’un être malade comme je l’avais crains. C’était autre chose. Presque magique.

Elle répondit à mon baiser et son haleine froide me pénétra jusque dans la moelle. Chaque parcelle de mon corps était désormais attachée à elle.

Je me sentais transpercé par l’amour qui rayonnait en moi et seulement pour elle, par elle. Pour la première fois de ma vie : j’aimais réellement.

Je glissais mes bras sur sa taille. A travers le tissu je pouvais sentir sa peau ferme et froide. La mienne en devenait de plus en plus brulante.

Lui dire mon secret? si je lui dis, non seulement je dévoile mon secret mais aussi celui des Cullen et tant d'autre vampires, je ne peut me le permettre! Alors que je ne m'y attendais pas je sentis quelque chose sur mes lèvres...les siennes. Ses bras autour de ma taille me fis frissonner de bien être, je ne pue m'empêcher de lui rendre son baiser, le rendant dix fois plus intense. Passionné, amoureux! Pas assez de mots, pour décrire cette échange si agréable. Je passa une de mes mains sur son torse, par dessus ses vêtement! Son sang qui affluais de plus en plus, son coeur qui battais de plus en plus vite me résonnais dans la tête. Le venin montais petit à petit mais m'efforçais de l'avaler. Je repris une aspiration malgré que je le fis pour lui car je n'en avais pas besoin, puis notre baiser repris autant plus passionné qu'avant. Ce fus tellement intense, que je perdis toute force vampirique et me laissa aller contre la banquète du jet, recouvert de cuir beige qui se trouvais derrière moi.

*arrête Sélène!*

Je ne cessais de le penser. Mais ne cessais de m'y résoudre.

(oh la la Sélène t’emporte pas ma belle on n’est pas dans le nawak…)

De tous les baisers que j’avais pu recevoir sur terre, celui de Sélène était le plus intense, magique, réel.

Car pour une fois dans ma vie, la réalité me semblait plus palpable même que le physique. J’étais heureux. Je l’aimais. Plus rien n’avait d’importance.

Ma vie, mon travail, mes erreurs, mes abus tout ce noyait dans ce baiser et plus encore.

Sélène enhardie par ce désir que nous partagions m’attira vers la banquette. Je ne pouvais quitter ses lèvres tandis que mes mains découvraient la douceur de ses épaules, de ses mains dont je portais les doigts glacés à mes lèvres. J’espérais les lui réchauffer. Ce froid était délicieux. Je voulais l’avaler.

Comme je l’aimais. C’était horrible à réaliser. Chaque femme que j’avais pu badiner avant elle n’avait été qu’un divertissement. Plus ou moins intense. Elle c’était différent. Et je commençais même à m’en vouloir pour tout le mal que j’avais pu causer.

Je comprenais enfin pourquoi le monde est monde. Pourquoi la vie est telle qu’elle est. Grâce à l’amour. Sans y avoir goûté, je ne vivais pas réellement avant.

(oua j’adorerais un vrai mec comme ça, je m’éclate à jouer les amoureux)

(mais non )

Ses mains, sa présence me suffisais amplement, j'étais la plus heureuse en cette instant! C'est alors que en plein milieux de cette instant presque parfait, je dit bien presque si ma nature de vampire n'avais pas resurgis. Une voie intérieure me dit d'arrêter, cette voie c'étais le venin qui m'étais monter à la bouche, je poussa vivement. Ni trop vite, ni trop lentement, juste se qu'il fallait.

"Désoler! Je me suis emporter, je...je n'aurais pas due. Désoler..."

Je baissa la tête, honteuse, si j'avais été humaine j'aurais pue me laisser aller, mais avec des "si" on pourrait refaire le monde. Je n'osais poser mon regard sur lui.

"J'aurais voulut aller plus loin, t'avouer se que je ressent pour toi....oui c'est vraie je t'aime...je ne sais pourquoi, mais je sais une chose, tu es différent des autres, mais pour ta sécurité et la mienne nous ne pouvons aller plus..."

Je marqua une pause, une courte pause qui sembla durée éternellement mais je finisse par reprendre:

"Il vaudrais mieux que tu me ramène Benjamin..."