{Jour7} Je ne pensais pas que les humains étaient si attachant et...aimant [Benjamin]

Ce n’est pas tant le fait qu’elle me repoussa à l’instant où je me sentais déjà prêt à aller très loin qui fut douloureux. Ce qui le fut et qu’elle disait regretter…

Pourtant, l’instant d’après je retrouvais ma joie. « Je t’aime » m’avait-elle dit, était-ce possible ? M’aimait-elle autant que moi je pouvais l’aimer ?

Elle parlait de notre sécurité… Avait-elle un petit ami gangster prêt à nous tuer s’il l’apprenait ? Possible, je ne lui en aurais pas voulu de n’avoir rien dit.

Je m’écartais, en me faisant violence. C’était si dur de ne pas l’aimer.

-D’accord…je…te ramène…

Je n’arrivais pas à lui dire que j’étais amoureux d’elle. J’avais la gorge nouée. Je regagnais comme dans un rêve ou un cauchemar la barre de commande et me hâtais de rentrer le bateau au port…

Nous accostâmes presque aussitôt. Je me sentais intensément remué.

Je n’osais même plus la regarder. L’idée qu’elle parte maintenant me faisait atrocement mal.

Je pris le numéro qu’elle me tendait avec la sensation d’avoir quittée la réalité.

Elle désirait qu’on garde contact ? C’était ma chance ? Alors pourquoi me sentais-je si triste ?

Elle l’était également. Ca se lisait sur son visage unique, parfait.

Je m’avançais.

-Sélène, murmurai-je, je n’ai jamais rencontré quelqu’un comme toi. Et…je n’ai jamais ressentie ça pour personne d’autre…surtout, aussi vite…

Je souriais vaguement puis m’approchais pour l’embrasser doucement.

-J’espère te revoir vite, tu me manque déjà.

(Nous sommes espionné dans ce post : https://rpgtwilightautrefasc.forumtwilight.com/seattle-f94/l-ange-de-la-mort-jour7-libre-t837.htm#16821 )

Je me concentrais de nouveaux sur le visage du belle humain dont j'étais tomber amoureuse, malgré cette sensation, cette fois c'est sur un vampire nous espionne et pas un végétarien Je sentis de nouveaux Benjamin se rapprocher ses paroles me détendis un peut:

"Nous, nous reverrons. Je te le promet!"

je l'embrassais à mon tour puis descendis sur le ponton.

"Je t'aime au revoir."

Je descendis et m'arrêtais net, cette odeur était de plus en plus forte et horrible.


cf:l'ange de la mort (jane)